Qu’est-ce que le cancer du sein ?

Avant toute chose, il vous est conseillé de visiter le site en-pleine-sante.com pour savoir, par exemple, comment vous devez vous comporter devant la découverte d’une maladie sur vous. Il vous permet également de contacter un médecin pour vous aider à avoir une vision globale de votre santé.
Le cancer du sein est l’apparition d’une tumeur dans cette zone. Ce dernier peut être bénin ou non, invasif ou in situ. Elle touche essentiellement les femmes de plus 50 ans, ce qui ne met pas à l’abri les hommes qui constituent 1% des patients victimes de cette maladie.
On la classe parmi les maladies dégénératives. Pour les experts, il s’agit de l’apparition de cellules anormales dans le sein. Ces dernières peuvent se multiplier jusqu’à entraîner, dans les cas les plus graves, une ablation de la partie cancéreuse.
Il existe plusieurs sortes de cancer du sein : médullaire, papillaire ou tubulus. Dans tous les cas, les cellules anormales prennent naissance dans la glande mammaire pour se développer lentement dans tout le sein. C’est l’un des cancers dont le développement prend le plus de temps. Selon les sondages, certaines patientes vivent encore très bien 5 ans après leur diagnostic. Ce qui ne rend pas cette maladie moins grave pour autant. Car, si les chimiothérapies fonctionnent pour certains patients, dans une grande partie des cas, une ablation du sein s’impose afin d’éviter que les cellules cancéreuses ne se propagent dans tout le corps. Sans compter qu’il y a toujours un grand nombre de décès en France actuellement.

Les facteurs à risques à prendre en compte

Les recherches ne permettent pas encore aujourd’hui de déterminer la cause de l’apparition des cellules cancéreuses dans le sein. Néanmoins, il y a quelques facteurs à risques qu’il faut prendre en compte pour prévenir cette maladie.
Comme susmentionné, le cancer du sein touche principalement les femmes, et notamment les plus de 50 ans. Il y a aussi des gènes. Si dans la famille vous avez des gènes BRCA1 et BRCA2, vous devez faire plus attention que d’autres.
Une surexposition aux œstrogènes peut également être un facteur à risque pour le cancer du sein. Si vous êtes précoce et que vous êtes issue d’une famille dont la ménopause n’arrive que vers 50 ans, le risque de contracter un cancer du sein est plus grand. Tel est le cas aussi des femmes qui subissent un traitement hormonal lourd.
Par ailleurs, certains scientifiques ont aussi fait un lien entre l’exposition fréquente aux rayons X et le développement des cellules cancéreuses. En plus des radios sur le thorax, certains traitements aux machines à UV doivent donc être limités.

Les bons gestes à adopter pour prévenir le cancer du sein

Prévenir le cancer du sein est possible. Il vous suffit d’adopter une meilleure hygiène de vie. Par exemple, mesdames, la cigarette et l’abus d’alcool ne sont pas de bonnes choses.
Soyez active. Faire de l’exercice physique vous aide à entretenir le corps, le cœur, mais aussi à limiter le risque de cancer du sein. Aussi, il faut pratiquer au moins 30 à 60 minutes de sport par semaine. Inutile de vous inscrire dans une salle pour ce faire. Il suffit de modifier vos habitudes. Préférez la marche ou le vélo pour faire vos courses; choisissez les escaliers au lieu des ascenseurs, etc.
Adoptez aussi un régime alimentaire plus équilibré et plus sain. Le surpoids et l’obésité font partie également des facteurs à risques à prendre en compte. Il faut donc éviter de manger sur le pouce à midi. Prenez le temps de préparer de bons plats fait-maison dont vous pouvez contrôler les ingrédients et les apports.
Malgré tout, soyez vigilante. Chaque jour, faites une palpation de vos seins. Il suffit de passer la main et de presser vos seins tout en soulevant légèrement vos bras. Cela se fait simplement sous la douche. Si vous sentez une anomalie ou un genre de boule, consultez immédiatement votre médecin. Il faut réaliser quelques tests pour confirmer qu’il s’agit réellement de cellules cancéreuses et pour décider des étapes à suivre pour le traitement et la prise en charge. Plus tôt vous serez diagnostiquée, plus grandes seront vos chances de guérison.

Quelles sont les causes du paludisme ?

Savez-vous qu’en France, ce sont plusieurs milliers de cas qui sont recensés chaque année ? Souvent, ce sont ce qu’on appelle cas d’importation, ce qui veut dire que les personnes touchées ont voyagé dans des pays endémiques et y ont contracté le paludisme. Le paludisme est dû à plusieurs espèces de parasites du type Plasmodium. Lorsque des moustiques vecteurs de la maladie piquent quelqu’un, c’est de cette manière que l’homme contracte le paludisme. Les moustiques en question appartiennent au genre anophèles.

Comment le paludisme se transmet-il?

C’est par la piqûre d’un moustique femelle que le paludisme se transmet à l’homme. Le moustique a été lui-même infecté après avoir piqué une autre personne porteuse du paludisme. Pour dire les choses simplement, lorsqu’un moustique femelle va se nourrir du sang d’une personne, si celle-ci est impaludée, il va porter le parasite en lui et l’injecter ensuite à une autre personne qu’il va piquer. Sachez que les moustiques mâles ne piquent pas. Cependant, il existe un mode de transmission directe du paludisme, c’est lorsqu’une femme enceinte est infectée car elle va alors contaminer son enfant via le placenta. Les traitements contre le paludisme existent mais il n’y a pas encore de vaccin anti-paludique.

La migraine est une maladie de la femme

La plupart des malades souffrant de la migraine sont des femmes. Cependant, elle n’épargne pas non plus les hommes. Chez la gent féminine, elle s’accompagne souvent de symptômes digestifs. Pour les migraines avec aura, la personne a un trouble de vision à peu près pendant vingt minutes. En général, une manifestation dure environ de 4 heures à 3 jours. La moitié du crâne est concernée. Si le patient fait un effort physique, la douleur peut être de plus en plus grave. Cela peut également s’accompagner de nausées ou de vomissements. Les personnes migraineuses ont également du mal à supporter les bruits et la lumière.

Les différents facteurs des maux de tête

La majorité des maux de tête se traduisent par la céphalée de tension. Cette dernière est due au problème professionnel ou aux tensions au niveau de la famille. Soyez attentif, car cette céphalée est synonyme de dépression refoulée. Le patient souffre d’une douleur légère, voire modérée, mais qui n’est pas pulsatile. Les premiers symptômes de cette maladie sont la faim, la grande soif, les bâillements ainsi que l’irritabilité. En plus de la cause hormonale, le mal de tête est souvent lié au stress, au manque de sommeil ou à la mauvaise alimentation. D’autres facteurs peuvent également être de mises. Toutefois, les études ont démontré que l’insuffisance de glucose dans le sang, la diminution de la dose de café et le changement de rythme peuvent également entrainer de graves maux de tête.

Des gestes simples pour atténuer les brûlures d’estomac

Au moment de brûlures, il faut réfléchir sur les éventuelles causes. S’il s’agit d’un repas trop copieux ou indigeste, la prise d’une petite pincée de bicarbonate dans un verre d’eau peut aider l’organisme à mieux digérer. Lorsque les douleurs se font ressentir en position couchée, le mieux serait de rester debout jusqu’à ce que les mauvaises sensations disparaissent. Quand le problème vient du stress, il est conseillé de décontracter et de se focaliser uniquement sur le côté positif de la vie.

Adopter une alimentation adaptée pour atténuer les douleurs

L’alcool, la cigarette et le café ne sont pas indiqués pour les personnes sujettes aux reflux gastriques. Il vaut mieux éviter toute alimentation trop grasse ou difficile à digérer. Les haricots, certaines variétés de choix ainsi que les fruits acides sont à éviter. Autant que possible, il faut manger à des horaires fixes. La faim contribue à l’aggravation des maux d’estomac. Avoir une collation avec soi pendant les journées où le déjeuner ou le dîner attendra des heures reste une excellente option.

Prendre des antiacides pour calmer les douleurs

Le meilleur moyen de venir à bout des maux d’estomac reste la prévention. En évitant la cause de la maladie, cette dernière peut être écartée de manière définitive. Cependant, la prise de médicament de type antiacide pourrait convenir comme calmant. Ce sont des molécules dont l’action consiste à atténuer la douleur. Les inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) sont les plus souvent pris sans ordonnance. Ces antisécrétoires doivent être avalés de manière occasionnelle.

Lapeyronie, quelles sont ses origines ?

La Lapeyronie est causée par une fibrose des corps caverneux. Les tissus autour de la verge perdent en élasticité et déforment par la suite. La maladie peut être diagnostiquée après une palpation des plaques et un examen de la verge en érection. Certaines études associent la maladie de Lapeyronie à des facteurs comme le diabète, ou à une hypercholestérolémie. Le plus souvent, la verge se courbe vers le ventre. Mais il arrive que la courbure soit latérale.

Lapeyronie, les traitements possibles

La Lapeyronie peut être soignée par des anti-inflammatoires non stéroïdiens, des médicaments à base de collagénose, et des vasodilatateurs. Quand la déformation est trop prononcée, ou lorsque le patient commence à ressentir de la douleur, il est parfois indispensable de pratiquer une opération chirurgicale. L’intervention consistera à redresser la verge, en plaçant des sutures à l’opposé de la zone fibreuse. Il faut savoir que cette opération cause une diminution de la longueur de la verge d’environs de 2 cm en érection.

Lapeyronie, quels impacts sur la vie sexuelle ?

Une personne atteinte de Lapeyronie a mal à la verge à chaque érection. Parfois, la douleur intervient même sans érection, ou pendant les rapports sexuels. Ce qui fait que la maladie peut gravement porter atteinte à la vie sexuelle. Dans certains cas, elle est même à l’origine d’une dysfonction érectile. D’une manière générale, la douleur disparaît après 6 ou 18 mois. Ceci en raison du fait que l’inflammation s’estompe après cette période, pendant que la fibrose s’installe.